MAISSIAT

Samedi 5 avril

Chanson - 21h - Tarif A

Avec l'aide à la diffusion d'Arcadi


 « C’est beau ! »

 

Voilà ce qu’on entend invariablement lorsqu’on fait écouter pour la première fois la musique de Maissiat. Le mot est simple et grand, classique et intemporel. Si l’on sent les remous de passions tumultueuses, des torsions, des cris, ils nous viennent enveloppés de lignes claires et de pudeurs émouvantes.

 

Sa musique prend racine dans une pop raffinée qui donne à la noirceur les atours de la sensualité. On y plonge, ravis du sortilège, sûrs d’en revenir pour mieux y retourner. Une musique généreuse dans ses appels comme dans la liberté qu’elle offre à qui veut se laisser prendre : ici la voix ondule, se fait plusieurs, parle grave ou s’envole très haut ; ici le texte s’éclate en possibles, se resserre crûment, se floute à nouveau.

 

 

Les photos d’enfance montrent une petite fille qui ne se sépare jamais d’un micro et d’une guitare en plastique. Un jour, un piano, un vrai fait son entrée dans la maison. Maissiat commence à élaborer sa musique, celle qui trouve sa forme aujourd’hui. Bien sûr, entre le point de départ et le retour aux sources, on trouve le parcours de quelqu’un qui a cherché, qui s’est déplacé.

 

Maissiat s’est emparée des guitares électriques, de l’énergie tendue et de la voix qui porte loin avec l’aisance de ceux qui plongent sans filets. Mais elle a vite envie de dépasser la forme rock standard pour offrir à ses chansons des arrangements subtils, des instruments différents, une autre voix… Maissiat revient au piano, redécouvre la liberté d’être la seule architecte de son monde. Elle écrit tout, les textes, la musique, les arrangements avec un appétit nouveau et insatiable, s’approprie pleinement ce qu’elle sait désormais être sa musique.

 

« Sans doute un des projets les plus intéressants de la chanson française actuelle.»

Benoît Brayer – France Inter

 

« Sa voix élastique et féline nous lance dans un jeu de pistes labyrinthiques fait de mots qui sonnent, qui suggèrent et éclatent en métaphores. »

Didier Varrod – France Inter

 

 

 

Première partie : Cyprès

 

Une guitare, un harmonica, une voix et une plume. Mélangez le tout et vous obtiendrez un arbre, Cyprès, en toute logique... Jeune Poète des rues de 24 ans, ce musicien sillonne la scène française avec un répertoire aux rythmes variés et aux textes inspirés, partageant sans cesse ces moments de joie et de peine qui marquent nos vies.

 

Ce jeune guitariste résidant à Ménilmontant, auteur, compositeur, interprète, peint le portrait de celles et ceux qui font notre société avec justesse, humour, mélancolie, compassion, révolte... Nappes de violon, violoncelle et percussions accompagnent ce beau répertoire.

 

En janvier 2014 est sorti le 1er Album de Cyprès intitulé "Sève" enregistré à L'Odéon / Scène Jean-Roger Caussimon. 

 

Site officiel : www.cypresmusique.com